Image, impact, saillance, série photo Frédéric Landragin   


Accessoires de prise de vue


 Autour de l'objectif macro
  • Tubes-allonges Canon EF 25 et Kenko 12, 20 et 36 mm : le but est d'augmenter le tirage, et donc la distance minimale de mise au point, et donc le rapport de grandissement. On perd de la luminosité, beaucoup si on combine plusieurs tubes, mais c'est ma solution préférée pour photographier des insectes en gros plan.
  • Multiplicateur Kenko AF1 Teleplus PRO 300 ×1.4 : petit accessoire supplémentaire qui permet d'augmenter encore un peu le rapport de grandissement (multiplie la focale par 1.4 sans changer la distance minimale de mise au point). Utilisable avec les autres objectifs, pas seulement le 100 macro.
  • Bonnettes macro, notamment le kit Raynox Macro CM-3500 avec ses trois lentilles permettant des grandissements importants variés. Utilisées pour la série des fleurs floues, pas pour les insectes (le piqué n'est pas leur point fort).
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 Autour de l'éclairage
  • Macrostand Chasseur d'Images, accessoire qui permet de placer un ou deux flashes à côté de l'objectif, de les diriger vers le sujet, ou d'en diriger un vers le sujet et l'autre vers l'arrière-plan, et de porter le tout pour prendre des photos à main levée. Il faut reconnaître que l'ensemble est un peu lourd et encombrant, sans oublier que l'on ne passe pas inaperçu si l'on est en balade. C'est en tout cas la solution que je préfère à celle du flash annulaire, pour la qualité, la puissance et le contrôle de l'éclairage.
  • Télétransmetteur Canon ST-E2 : utile pour régler le ratio entre les deux flashes.
  • Flashes Canon 580 EX et 420 EX : sur le macrostand, le 580 EX sert de source principale de lumière et le 420 EX de source secondaire.
  • Diffuseurs et réflecteurs : il m'arrive de placer sur l'un ou sur les deux flashes des diffuseurs. Je me sers parfois de réflecteurs pour déboucher les ombres et gagner un peu de luminosité.
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 Sous l'eau
  • Après quelques essais avec des appareils compacts étanches, on revient vite vers son reflex habituel... J'ai donc mis le 5D Mark II dans un sac souple DiCAPac WP-S10, solution bien plus accessible qu'un caisson, mais utilisable uniquement en restant proche de la surface de l'eau.
  • Les réglages de base restent possibles sous l'eau : réglage du zoom, changement d'ISO, changement d'ouverture. La molette arrière est par contre inutilisable et il faut donc sortir l'appareil du sac, ne serait-ce que pour visualiser les photos sur l'écran du boîtier.
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